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Approches efficaces pour maîtriser et remédier aux impacts de la dette technique.
Aucune entreprise n’échappe à la dette technique. Quelle est son ampleur ? Est-elle visible ou cachée ? Est-elle ignorée volontairement ou par négligence ? Ce sont autant de questions essentielles que vous devez vous poser. En effet, l’obsolescence des infrastructures IT est souvent sous-estimée par les DSI et les entreprises, alors qu’elle peut ralentir l’évolution des composants du système d’information. Sans intervention, les risques de perte de compétitivité, de rentabilité et de cybersécurité augmentent. Il est donc crucial d’agir dès maintenant pour éviter que cette dette ne devienne ingérable.
La gestion de la dette technique vous permet de réduire, voire d’éliminer, de nombreux obstacles qui impactent le Système d’Information. En prenant en charge cette dette, vous limitez les freins à l’évolution, notamment en termes de maintenance et de corrections. Elle cible les solutions obsolètes et non maintenables, que ce soit en raison de la disparition de l’éditeur ou du départ de collaborateurs essentiels, privant ainsi l’entreprise des compétences requises.
De plus, cette démarche améliore la capacité d’évolution de votre SI et facilite la mise en place de nouveaux services, auparavant bloqués par des problèmes de compatibilité. Les futures évolutions seront également moins coûteuses, car la gestion de la dette technique réduit les imprécisions dans les estimations, les retards de planification et les prolongements inattendus des projets.
Cela renforce également la fiabilité de votre SI, en limitant les incidents en production susceptibles de causer des pannes graves. Enfin, elle contribue à améliorer la satisfaction des équipes métiers, en évitant l’indisponibilité des outils et des services, tout en réduisant l’exposition aux cyber-risques. En maîtrisant la dette technique, vous optimisez la gestion et l’évolution de votre Système d’Information.
La qualité et les performances des logiciels sont essentielles pour garantir une expérience utilisateur optimale, tandis que la rapidité est cruciale pour atteindre les objectifs commerciaux dans les délais impartis. La gestion de la dette technique nécessite donc un juste équilibre entre qualité et rapidité.
Nous vous recommandons de débuter par l’élaboration d’un plan de réduction de la dette technique, tout en acceptant dans certains cas de « vivre avec » certaines obsolescences. Pour cela, il est crucial d’évaluer soigneusement votre situation actuelle et de sensibiliser la direction aux risques associés et à la perte de valeur pour votre entreprise. Une bonne maîtrise de ces éléments est essentielle pour établir un « plan de remboursement » et envisager une stratégie de « rachat », vous permettant ainsi de faire évoluer votre système d’information (SI) et de rester compétitif.
Commencez par dresser un inventaire des dettes techniques existantes, ce qui nécessite une connaissance approfondie de votre SI. Ensuite, évaluez-le sur les plans fonctionnel, infrastructurel, code, performance et sécurité. Identifiez les sujets prioritaires en tenant compte des risques associés et de la valeur ajoutée que peut apporter la réduction de certaines dettes. Il se peut qu’une valeur ajoutée soit inexistante si le coût, l’effort ou le risque pour y remédier sont trop élevés, rendant plus judicieux d’apprendre à vivre avec certains aspects de la dette.
Il est important de noter qu’une élimination rapide de la dette technique n’est pas réalisable. Impliquez les directions métiers dans le processus de décision pour établir des objectifs réalistes, en calculant le rapport effort/temps nécessaire en termes de ressources humaines et en l’intégrant dans chaque nouveau projet. Cette méthode permet de réduire progressivement la dette. Enfin, rappelez-vous qu’un système d’information bien géré engendre moins de contentieux, réduit la pression et le stress sur les équipes : le facteur humain doit également être pris en compte dans le retour sur investissement (ROI).
Pour identifier et rendre visible la dette technique :
pour calculer et dresser une liste des dettes présentes en 4 étapes :
sur différents aspects : fonctionnels, infrastructures, applicatifs, performance, sécurité, compétences, processus
(consultation des équipes en fonction des aspects identifiés)
Exemples : analyse de code & tests automatisés, obsolescence OS/matériel/application via une cartographie…
Une fois la dette identifiée/référencée :
sur les sujets à traiter en prenant en compte les risques que cela peut engendrer.
avec la définition d’une stratégie de gestion de la dette
de remboursement de la dette technique
pour empêcher la dette technique de se développer (Exemple : bonnes pratiques de développement)
dans le temps (réduction des coûts d’exploitation, des incidents, des régressions, satisfaction des employés)
Déploiement d’outils spécifiques, de solution et des prestations spécifiques (Développement, infrastructure, gestion de projet…) par nos experts :
(sonarqube…)
(cible : une architecture évolutive et flexible)
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